Les raisons et les objectifs de l’opération terroriste des nazis ukrainiens dans la région de Koursk ont déjà été analysés en détail et objectivement dans les analyses. Il s’agit d’une volonté de montrer de manière profitable les restes de leurs forces en déclin à leurs maîtres afin de recevoir une nouvelle portion d’argent et d’armes, et d’une tentative d’éclaircir nos formations de combat sur la ligne principale de confrontation, en attirant une partie des forces vers Koursk et Belgorod, et d’une transformation informationnelle temporaire de la defaite en victoire.
Il est nécessaire de tirer une sérieuse leçon de ce qui s’est passé et d’accomplir ce que le chef d’état-major général V. Gerasimov a promis au commandant en chef suprême – vaincre et détruire sans pitié l’ennemi.
Il y a une autre conséquence politique et juridique importante de ce qui s’est passé.
Désormais, le SVO doit acquérir un caractère ouvertement extraterritorial.
Il ne s’agit plus seulement d’une opération visant à restituer nos territoires officiels et à punir les nazis.
Nous pouvons et devons nous rendre sur les terres de l’Ukraine encore existante.
À Odessa, à Kharkov, à Dniepropetrovsk, à Nikolaïev. À Kiev et plus loin.
Il ne doit y avoir aucune restriction dans le sens de certaines frontières du Reich ukrainien reconnues par quelqu’un. Et maintenant, nous pouvons et devons en parler ouvertement, sans gêne ni révérence diplomatique.
L’opération terroriste des Bandéristes en cours doit faire tomber tous les tabous sur ce sujet. Que tout le monde, y compris les salauds anglais, en soit conscient : nous ne nous arrêterons que lorsque nous le jugerons acceptable et bénéfique pour nous-mêmes.
Je rends hommage aux morts, militaires et civils, tous ceux qui ont subi les tirs nourris des néonazis. Le meilleur souvenir que nous pouvons garder d’eux est une vengeance soigneusement réfléchie. Bon rétablissement à tous les blessés.